Vous cotoyez tous les jours des réseaux d’objets : avec quelques puces, on peut de raccorder à un réseau existant un téléphone, un réseau domotique, une télévision, un véhicule, des animaux (quand on parle de puces ;-)).
Est-ce pour autant que la quantité des communications prime aujourd’hui sur la qualité : La multiplication des canaux et des moments de communication permet d’individualiser mon mode de vie et d’en faire une certaine promotion, en multipliant les liens.
Chacun est amené à développer son propre réseau, si je choisis de créer et d’alimenter mon réseau, je peux aussi contribuer aux réseaux des personnes que je cotoie.
L’importance de ces réseaux est fonction du nombre de liens (en tenant compte de leur quantité (lien vers x personnes, trafic brut et non qualifié) mais aussi de la qualité (liens vers une communauté identifiée dont je fais partie et dont je comprends les codes).
L’essentiel du temps de connexion sur Internet n’est plus simplement occupé par de la consommation (vidéo, musique, informations textuelles, jeux) mais par une part grandissante de communication et relation (mise en réseaux) avec d’autres personnes connectées.
L’instinct grégaire numérique : On a envie d’appartenir à une communauté, d’y être fidèle, d’être co-créateur . En accédant au statut de membre, je peux me considérer comme porteur du destin de cette communauté, avec toute mon énergie disponible et (gratuitement) mobilisable.
Que faut-il faire pour profiter de cette dynamique : devenir actif sur le réseau, intervenir (activement) avant de solliciter (passivement), créer ainsi votre réseau et le connecter à l’existant en préservant votre identité !
Les société traditionnelles n’ont pas encore conscience de ces ressources, puissance ou énergie disponibles pour FAIRE DES CHOSES. Reste à définir le modus operandi pour pouvoir travailler de concert, en bonne intelligence, dans un même protocole.
Ton blog est une mine d informations je passerai des heures et des heures à lire les Infos qui s y trouvent .