Tweeter ou bloguer : ménager une bonne interaction

Vous découvrez , prenez conscience, dès maintenant, qu’il y a des informations que l’on tweete et d’autres dont on peut faire des articles sur son , mais aussi que vous pouvez vous satisfaire (à tort) de ne publier du que sur Twitter !

Je viens de m’apercevoir qu’il y avait fort longtemps que je n’avais plus rien publié sur mon blog et que pourtant l’envie ne s’en était pas fait sentir. Pourtant pas de crise de flemme, pas de vacances et pas spécialement plus de boulot que d’habitude.

Effectivement : plus d’un mois sans rien publier, pas bon, pourtant, il me semble ne pas avoir arrêter de communiquer tweeter. Et voila, le terme est laché, je suis addicted à l’oiseau bleu, je ne fais plus que micro-bloguer !

Premier symptôme : la boulimie
Le nombres affolants de tweets en favoris, l’accroche me plait pan en favoris, un scann rapide de la page d’atterrissage et un contenu qui apparait pertinent, idem.
Avec en tache de fond, l’idée qu’un jour ou l’autre je pourrai faire un bon usage de cette info (Note à ceux qui sont dans le même cas : on n’en fait jamais bon usage, ou alors, l’archivisme est votre seconde nature)

Deuxième symptôme : l’impression d’avoir perdu son temps !
Je n’ai pas l’impression de perdre pas de temps lorsque je tweete (en général entre deux rendez-vous ou dans les transports en commun – ce qui me rapproche des #SNCFAIL de @juliencoquet) mais lorsque je ne tweete pas : c’est l’affolement (relatif) du lundi matin : tout ce que j’ai raté pendant le week-end et tel le lapin d’Alice, c’est la course qui commence pour remonter dans le temps et tenter de déméler l’afflux d’ en tirant le bon fil.

Troisième symptôme : plus de bouquins qui trainent !
Ni de papier volants avec des pistes à suivre, dans les faits, plus de de fond, plus de triturage de méninges pour concevoir un contenu intéressant, juste des flash d’informations.

Est-ce grave docteur ?
Twitter reste un super outil pour se tenir au courant, colporter des infos que l’on juge intéressantes et publier quelques petites infos rapides. Cette limite à 140 caractères oblige à cerner l’essentiel et négliger l’emballage pour se focaliser sur la moelle du contenu.
Et une impression qui se confirme, Twitter requiert une présence plus passive que la création de contenu sur un blog. La création d’un article sur un blog reste une démarche active avec des exigences de préparation, conception, et relecture.

Complémentaire l’une envers l’autre, ces deux activités n’en sont pas moins chronophages.

Pourtant, les tweets laissent (pour l’instant) moins d’empreinte sur la toile. Ces informations parfois pertinentes ( souvent vu la qualité des twittos que je suis) sont néamoins des bribes d’info super volatiles et rapidement obsolètes mais ramasser ces miettes d’informations et les éparpiller peut vous détourner de votre site.

Je reste quand même super impressionné par de gros twittos au gazoullis presque continu.

Et dernière chose sur Twitter, pour éviter une pratique « consanguine » du micro blogging, n’hésitez surtout pas à élargir votre communauté, il existe des applications qui vous permettent de vous ouvrir à d’autres profils twitter intéressants

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